Les aiguilles se transcendent, libèrent le rose du géranium cendré.
Le berger, accompagné de son mototracteur se prive t’il toujours d’un amour perdu après cet hiver rigoureux ?
Au loin, une cordée se régale sur les pas des pionniers. Ils sont si apaisés, que le chant du pinson se perd dans la profondeur des hêtres.
Le grave se mélange parmi les chocards criards, si ressemblants et si différents, une histoire de prise de becs, tout en couleur.
Mes acolytes fleurissent des yeux à chaque pas posé, invitant à la sieste, tout en marchant…